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Mythes & réalités

Créées par un manque d’information sur le sujet, quelques légendes négatives persistent à propos de la chasse avec chiens. Voyons vraiment ce qu’il en est.

« Les chasseurs avec chiens vident les bois »

Des études dans les réserves fauniques démontrent que les chasseurs avec chiens ont moins de succès que ceux qui se déplacent en battue ou utilisent des véhicules motorisés. Accompagné ou non d’un ou de plusieurs chiens, le chasseur est tenu à respecter les lois et de s’en tenir aux limites imposées par le législateur. Un chasseur avec chiens est un conversationniste dans l’âme et un gibier abattu est un gibier récupéré.

« Les chiens de chasse font fuir le gros gibier »

Il est très important de faire la différence entre chiens de chasse et chiens errants. Les chiens de chasse sont toujours gardés sous contrôle. De plus, la majorité d’entre eux ignorent les animaux qu’ils n’ont pas été conditionnés à chasser, dont le cerf et l’orignal. Ils n’ont donc pas plus d’effet sur le gros gibier que le simple promeneur auquel nos cerfs et nos orignaux civilisés sont habitués. Des études démontrent qu’un cerf dérangé est de retour dans son domaine vital dans 98% des cas, et ce, en moins de 24 heures.

Saviez-vous que…

  • En Ontario, il est permis d’utiliser des chiens courants lors de la chasse au cerf de Virginie ! D’ailleurs, plus de 10 000 chasseurs s’adonnent à cette activité chaque année.
  • La plupart des chiens qui chassent dans les sous-bois denses pour trouver la gélinotte et la bécasse doivent avoir la queue écourtée pour éviter de se blesser. En effet, lorsque le chien prend l’émanation d’un petit gibier,  il devient tellement excité et content, que sa queue se met à battre très rapidement, et si elle n’est pas écourtée, le risque de la blesser, contre la végétation, est très grand. Ces blessures à la queue sont, par la suite, complexes à soigner et elles induisent généralement des frais de vétérinaires coûteux pour conduire souvent à une amputation.
  • D’autre part, il est faux de penser que d’écourter la queue à un chiot âgé de deux jours est très douloureux. Des écrits scientifiques montrent que c’est une intervention de prévention peu douloureuse parce que son système nerveux n’est pas complètement développé à cet âge.      

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